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Space X:  la capsule spatiale Crew Dragon

La société aérospatiale privée américaine SpaceX a procédé dimanche à un test d'éjection d'urgence en vol de la capsule spatiale Crew Dragon, afin de démontrer sa capacité à sortir les astronautes de danger au cas où un problème surviendrait pendant un lancement.

A 10h30 heure locale (15h30 GMT) en Floride, une fusée Falcon 9 transportant une capsule Crew Dragon habitée par deux mannequins a été lancée depuis le pas de tir 39A du centre spatial Kennedy de la NASA, a rapporté l'agence spatiale américaine.

Environ une minute et demie après le décollage, les moteurs du premier étage de la fusée se sont arrêtés, et les propulseurs SuperDraco de la capsule Crew Dragon se sont allumés pour une manoeuvre d'éjection d'urgence. La capsule a été catapultée au loin, tandis que la fusée se disloquait au-dessus de l'océan Atlantique.

Environ cinq minutes après le décollage, les deux flotteurs et les quatre parachutes principaux de la capsule se sont déployés, et la capsule a atterri en douceur dans l'océan Atlantique neuf minutes après le décollage de la fusée.

Cette démonstration était conçue pour fournir à la NASA les données dont elle avait besoin pour autoriser la capsule Crew Dragon à transporter des astronautes vers et depuis la Station spatiale internationale (ISS).

La NASA a en effet passé un contrat avec SpaceX et Boeing pour construire des capsules spatiales de fabrication américaine capables d'amener des astronautes jusqu'à l'ISS, ce qui permettrait de mettre fin à la dépendance des Etats-Unis à l'égard des engins spatiaux russes Soyouz pour le transport de leurs équipages.

Le premier lancement d'une capsule Crew Dragon habitée devrait avoir lieu dès le premier trimestre de cette année.




Nourrir La planete

Dans cet ouvrage, Louis Albert de Broglie et Deyrolle, proposent de réunir les points de vue sur l'alimentation et notre santé, à travers une cinquantaine de planches emblématiques de la maison, dont certaines inédites.

Toutes sont accompagnées de contributions écrites par des experts et personnalités d’horizons variés avec une préface écrite par Pierre RABHI.



Changements climatiques  et écosystème


19.08 Les changements climatiques, en particulier l'augmentation de la température et la réduction des précipitations, exerceront une influence sur la stabilité écologique dans les régions désertiques, selon une récente recherche de l'Académie des Sciences de Chine (ASC).

Des chercheurs de la Station de recherche et d'expérimentation sur le désert de Shapotou, dépendant de l'ASC, ont découvert que les changements concernant la température et les précipitations devraient avoir un impact sur l'écosystème désertique en modifiant les composants biotiques, principalement la mousse trouvée dans les croûtes à la surface du sol.

Les croûtes biologiques à la surface du sol sont des composants biotiques vitaux des écosystèmes désertiques qui aident à maintenir la stabilité du sol et les niveaux de carbone et d'azote et qui servent d'habitats aux micro-organismes, a expliqué Li Xinrong, chercheur de la station.

L'équipe de recherche a simulé un réchauffement et la réduction des précipitations au cours d'une étude menée pendant dix ans, en se concentrant sur la façon dont les croûtes à la surface du sol réagissent à ces altérations climatiques.

"L'abondance de mousse, de couverture de surface et de biomasse diminuera fortement en raison d'une période de réchauffement continue et associée à une baisse des précipitations", a indiqué M. Li.

Selon lui, la diversité et la biomasse des structures crustales reposent sur la mousse, et cette réduction apportera un changement structurel et fonctionnel des structures crustales et un déséquilibre de l'eau des déserts contenue dans le sol, ce qui pourrait avoir des effets néfastes sur la stabilité et la durabilité de la restauration écologique.

La recherche a été publiée sur le site Internet de Global Change Biology, une revue internationale sur l'écologie.



Les océans en danger


Au sommet du G7 qui se déroule au Canada, le secrétaire général des Nations Unies Antonio Guterres s'est félicité samedi de l'adoption de la "charte zéro déchet plastique" par les sept pays les plus industrialisés de la planète.

"Quelque huit millions de tonnes de déchets plastiques pénètrent dans les océans chaque année. Si nous ne changeons pas de cap, ils pourraient dépasser le poids de l'ensemble des poissons des océans d'ici 2050", a affirmé M. Guterres, ajoutant qu'il existe dans le Pacifique une masse de plastique plus grande que la France.

Le chef de l'ONU a déploré que les déchets plastiques sont désormais présents dans les régions les plus reculées de la planète, qu'ils tuent la vie marine et nuisent aux communautés qui dépendent de la pêche et du tourisme.

M. Guterres a toutefois lancé un cri d'alarme appelant à faire "beaucoup plus" en faveur des océans.

"Détrompez-vous, nous sommes dans une bataille et nous perdons sur tous les fronts", a affirmé M. Guterres, signalant que la surpêche handicape les stocks de poissons, que la pollution provenant des terres génère des zones mortes côtières, et que 80% des eaux usées sont rejetées dans la mer sans traitement.

L'impact croissant du changement climatique aggrave ces problèmes, a ajouté le secrétaire général, expliquant que l'acidification des océans perturbe la chaîne alimentaire marine, et que les températures des océans sont à des niveaux records, tuant les récifs coralliens et créant des tempêtes plus violentes et plus fréquentes. "Beaucoup de ces personnes sont vulnérables non seulement aux tempêtes, mais aussi à la montée du niveau et à l'érosion côtière", a averti M. Guterres, précisant que 40% des personnes vivent à moins de 100 km des zones côtières, et que les nations insulaires de faible altitude sont confrontées aux inondations, de même que plusieurs grandes villes côtières .

"Je suis ici aujourd'hui, pour sonner l'alarme, pour injecter un sentiment d'urgence réelle dans vos délibérations et votre prise de décision", a-t-il affirmé.

Le secrétaire général a affirmé que le monde dispose d'un "plan de bataille" pour affronter ces grands défis, dont le "guide" est l'objectif 14 des Objectifs de développement durables (ODD) à l'horizon 2030, qui traite de la lutte contre la pollution marine et l'acidification à la cessation de la surpêche et la protection des écosystèmes, et dont le "cadre juridique", la Convention sur le droit de la mer. "Votre leadership est plus nécessaire que jamais", a insisté M. Gutteres, appelant les dirigeants des sept pays à faire plus pour lutter contre la pollution d'origine terrestre, créer des zones marines protégées, renforcer la résiliences des écosystèmes et communautés côtières, mais surtout pour lutter contre le changement climatique.

"Je vous appelle donc tous à prendre ces menaces à notre environnement mondial au sérieux et à comprendre que notre avenir et notre sécurité sont en jeu", a conclu M. Guterres.


La sonde InSight


L'Agence spatiale américaine (NASA) a lancé samedi avant l'aube la sonde InSight depuis la côte centrale de la Californie avec pour mission l'exploration des entrailles de la planète Mars.

La sonde a décollé à 4h05 heure locale (11h05 GMT) propulsée par une fusée Atlas V depuis la base aérienne de Vandenberg.

L'InSignt, acronyme de INterior exploration using Seismic Investigations, Geodesy and Heat Transport (exploration interne par sondages sismiques, géodésie et flux thermiques), étudiera comment les planètes rocheuses et leurs satellites se sont formés.

Il s'agit de la première mission lancée vers une autre planète depuis la base de Vandenberg au lieu du Centre spatial Kennedy en Floride, où la plupart des missions de la NASA ont décollé à ce jour.


Le réchauffement climatique

Selon un nouveau rapport, plus du quart des terres du monde deviendront significativement plus sèches si la température moyenne mondiale augmente de 2°C, ce qui entraînerait une amplification de l'aridification et des risques environnementaux majeurs.


Une équipe de scientifiques de l'Université Southern Science and Technology (SUSTech) de Shenzhen en Chine et de l'Université d'East Anglia (UEA), en Angleterre, a étudié les projections de 27 modèles climatiques mondiaux pour identifier les régions du monde où l'aridité changera avec le réchauffement de 1,5° à 2°C au-dessus des niveaux préindustriels.

La recherche, qui a été publiée dans la revue Nature Climate Change, explique la corrélation entre le réchauffement climatique et l'aridification.

L'aridité est un résultat de la sécheresse de la surface terrestre, dû à la combinaison de la précipitation et de l'évaporation. C'est une menace sérieuse pour la planète, car elle peut affecter gravement et négativement des domaines tels que l'agriculture, la qualité de l'eau et la biodiversité.

L'aridité peut également conduire à plus de sécheresses et de feux de forêts, comme cela a été récemment vu en Californie.

Manoj Joshi de l'École des sciences de l'environnement de l'UEA a déclaré:

«Nos recherches prévoient que l'aridification apparaîtra sur environ 20 à 30% de la surface terrestre mondiale au moment où le changement moyen de température mondiale atteindra les 2°C. On pourrait éviter l'aridification significative si le réchauffement est limité à 1,5°C», indique la publication de Phys.org.

Selon Jeong Sujong de la SUSTech, la planète s'est déjà réchauffée de 1°C.










































































































 

Asteroides tueurs


Homéopathie à la ferme

Agnès, Vincent, François, Yveline et les autres, sont éleveurs depuis de nombreuses années. Préoccupés par la question du bien être et de la santé de leurs animaux, ils ont la curiosité de s'intéresser aux médecines alternatives. La rencontre avec un vétérinaire homéopathe et une conseillère en élevages biologiques les conduit à se former, expérimenter, à échanger entre eux pour soigner autrement.

Dans ce livre, ils témoignent de leurs réussites et de leurs tâtonnements ; mais bien au-delà d'une connaissance technique, ils nous parlent de patience, d'observation, d'entraide, de choix, de responsabilité... Un art de vivre avec les animaux qui interroge profondément notre vision de la santé.
Ce livre est le fruit de ce cheminement collectif. Il se veut un outil à la disposition de toutes celles et ceux que la curiosité n'effraie pas et que la santé de la planète préoccupe.


Le transhumanisme


Un décryptage du transhumanisme en tant que courant de pensée. L'auteure revient sur les origines historiques et les influences du transhumanisme, puis elle présente une lecture humaniste de la situation contemporaine.



Le monde entre nos mains - Le tour du monde des solutions durables



En 2012 et 2013, Marc Giraud, Sylvain Delavergne et Rémi Sierakowski, sac au dos et caméra au poing, s’embarquent pour un tour du monde des solutions durables. C’est la concrétisation d’un projet fou démarré quelques mois auparavant: WIFU (Worldw’Ideas for the FUture).

- Leur objectif: partir à la rencontre des entrepreneurs qui dessinent le monde de demain et essaimer les bonnes idées collectées.

- Leur credo : la contagion par l’exemple.


Ils sillonnent ainsi le monde en tuk-tuk, autocar, à dos d’éléphant, en train, en avion, en rickshaw ou en pirogue… Des milliers de kilomètres parcourus pour rapporter les solutions développées aujourd’hui qui feront la société de demain. Ils rencontrent notamment le chimiste mexicain qui prétend révolutionner l’agriculture mondiale avec son eau solide, le directeur d’une université indienne qui forme des grands-mères vivant avec moins de 1 dollar par jour à devenir ingénieurs solaires, le concepteur basque de planches de surf écologiques en fibre de lin, la responsable d’un club de plongée qui régénère la barrière de corail indonésienne grâce au soleil… 47 reportages d’entrepreneurs visionnaires et pragmatiques dans 17 pays sont ainsi retranscrits dans ce livre passionnant et porteur d’espoir. En lien avec cet ouvrage, les aventuriers auteurs ont réalisé un web-documentaire interactif. Les expériences présentées dans le livre sont complémentaires de reportages filmés accessibles à tous sur la toile. Bonne route dans le monde de demain… http://www.wifuproject.com/





De L'Oréal à Lhassa,

itinéraire d'un iconoclaste

 

Le parcours étonnant d’un businessman, aventureux et atypique, parti à la conquête du monde pour L’Oréal tout en poursuivant une quête spirituelle authentique.

 



Climat et capitalisme


Nous sommes à l'aube d'une profonde mutation du capitalisme, sous l'action du changement climatique. Le prix du carbone va-t-il être placé au cœur des échanges économiques ? Quelles politiques économiques peuvent être à la hauteur des enjeux ? Quelles sont les transformations géopolitiques à venir ? Quelques-uns des meilleurs économistes français croisent leurs analyses et tracent ainsi les contours de cette grande transformation à venir.Sous la direction de Jacques Mistral sont ainsi rassemblés Patrick Artus, Françoise Benhamou, Jean-Paul Betbèze, Anton Brender, Jean-Michel Charpin, Jean-Marie Chevalier, Raphaël Contamin, Bruno Fulda, Patrice Geoffron, Pierre-Noël Giraud, Frédéric Gonand, Fabien Hassan, Pierre Jacquet, Pierre-André Jouvet, Christian De Perthuis, Michel Rocard, Katheline Schubert, Akiko Suwa, Jean Tirole




Les nouvelles luttes


Présentation des mécanismes de la communication lorsqu'elle est utilisée au service de mouvements contestataires (opposition à la construction d'un barrage, aux OGM, au gaz de schiste, etc.), illustrée de témoignages de personnes engagées comme José. A travers de nombreux témoignages d’acteurs des nouvelles contestations, l’ouvrage donne des clés pour comprendre les nouvelles luttes citoyennes.




«Tout peut changer»

par Naomie Klein


Notre modèle économique est en guerre contre la vie sur Terre. Nous ne pouvons infléchir les lois de la nature, mais nos comportements, en revanche, peuvent et doivent radicalement changer sous peine d’entraîner un cataclysme. Pour Naomi Klein, la lutte contre les changements climatiques requiert non seulement une réorientation de nos sociétés vers un modèle durable pour l’environnement, mais elle ouvre aussi la voie à une transformation sociale radicale, transformation qui pourrait nous mener à un monde meilleur, plus juste et équitable. Tant par l’urgence du sujet traité que par l’ampleur de la recherche effectuée, Naomi Klein signe ici son livre sans doute le plus important à ce jour.